Lorsquenous sommes nés, nous avons tous, telle Cendrillon, eu une bonne fée qui s'est penchée sur notre berceau. Certains en doutent et cependant, Jupiter, dans un thème de naissance, représente notre capital « chance et réussite ». Cette planète en maison natale nous sert de protecteur, de bienfaiteur et de bonne étoile dans le
Le milieu de terrain français du Real Madrid, Eduardo Camavinga, contrôle le ballon pendant le match de championnat d'Espagne entre le Real Madrid et Celta Vigo au stade Santiago Bernabeu à Madrid, le 12 septembre 2021. GABRIEL BOUYS AFP Éclosion d'un joueur hors normes ou feu de paille comme la saison passée avec Rennes ? Avec un but dimanche et une passe décisive qui a sauvé la "Maison blanche" mercredi en C1 contre l'Inter Milan, Eduardo Camavinga réussit des débuts de rêve au Real Madrid."On m'a déjà dit que j'avais une bonne étoile, mais c'est le travail quotidien qui paye !", s'est exclamé le prodige français de 18 ans au micro de Canal+ mercredi minutes auparavant, comme un symbole, il entrait à la 80e à la place de l'icône Luka Modric et offrait à la 89e une passe décisive inspirée au Brésilien Rodrygo 20 ans pour sceller la première victoire du Real en Ligue des champions, compétition que le club madrilène a remporté treize son premier match sous ses nouvelles couleurs, dimanche contre le Celta Vigo en Liga, il est entré en jeu à la 66e et a marqué son premier but à la 72e succès final 5-2.En un peu plus d'une demi-heure de jeu en deux matches au Real, Eduardo Camavinga cumule donc un but et une passe débuts tonitruants qui rappellent ses premiers pas étincelants sous le maillot du Stade en Ligue 1 par Julien Stéphan au printemps 2019, quand il n'avait que 16 ans, puis devenu le plus jeune international français depuis un siècle en septembre 2020, auteur d'un but sublime contre l'Ukraine pour son deuxième match en Bleu, Camavinga a séduit le public français par son insouciance, son sourire et sa science du de régimeMais après ces débuts en fanfare, le rendement du jeune milieu de terrain a baissé ces derniers mois la saison passée, il totalisait déjà un but et une passe décisive après ses deux premiers matches avec Rennes à l'été 2020, avant de triste pénalty obtenu contre Séville en Ligue des Champions en décembre 2020, et une passe décisive contre Dijon en avril. Et rien du tout en quatre matches de L1 cette saison, avant son départ vers l'Espagne."Les enfants sont si grands !", s'est exclamé le journal sportif Marca jeudi à sa une, en référence à l'action du but construite entre Federico Valverde 23 ans, Camavinga 18 ans et Rodrygo 20 ans."Je l'ai appris à Rennes""L'entrée de Camavinga est très bonne. Souvent, quand tu entres en fin de match en Ligue des champions, tu es anxieux car tu as beaucoup à prouver en peu de temps. Mais l'action du but prouve qu'il a beaucoup de sang-froid. C'est un ballon qu'il aurait pu contrôler ou frapper, mais il a lu l'action parfaitement et il a vu une passe avant tout le monde", l'a encensé Alvaro Benito, ancien joueur merengue et consultant pour la chaîne Movistar+.Le nouvel entraîneur du Real Carlo Ancelotti, qui a réussi un coup tactique en lançant le buteur et le passeur décisifs en deuxième période, a calmé l'ardeur, et a demandé de la "patience" avec le diamant français, qui doit "encore progresser en défense"."C'est un enchaînement que j'avais appris à Rennes avec Mathieu Le Scornet ex-entraîneur adjoint du Stade rennais, qui me disait souvent de faire la passe et de courir dans la profondeur pour amener le danger. C'est ce que j'ai fait avec Fede Valverde, il m'a bien servi et j'ai pu servir Rodrygo", a confié Camavinga au micro de beIN Sports, après la étoile filante ou "Galactique" naissant ? Pour l'instant remplaçant, Camavinga pourrait grappiller du temps de jeu et s'installer dans ce milieu de terrain vieillissant du Real Madrid, entre Toni Kroos, Luka Modric et Casemiro. Le soleil naissant n'a sans doute pas fini de briller.
Jesuis né sous une étoil' filant' Et je vis comm' une étoil' filant' Je n'ai pas de femme, même pas un lit Je cours comm' un cheval qui fuit devant un incendie Je suis né sous une étoil'
La perte d’un enfant est l’une des épreuves les plus dures de la vie. Que ce soit un décès alors que vous le portiez encore, au moment de l’accouchement ou alors qu’il grandissait à vos côtés, votre amour pour cet enfant est et restera immense. Il est tout naturel de souhaiter organiser une cérémonie d’au revoir et de vouloir lui rendre hommage de la plus jolie façon qui soit. Ce rituel sera précieux et marquera une étape importante de votre vie. Vous aurez peut-être envie de lire un texte écrit par vos soins lors de l’enterrement, de lire un poème ou les paroles d’une chanson qui vous parle particulièrement. Trouver le bon texte à lire à l’enterrement pose souvent problème. Voici 8 poèmes, d’auteurs célèbres ou inconnus, sélectionnés par Happy End pour leur beauté et le message qu’ils véhiculent. Choisissez un texte d’enterrement écrit par un particulier ayant vécu cette épreuve Je t’ai fait la promesse, de te faire exister. Ta vie sur terre a été courte, mais en émotions multipliées, Pour beaucoup ta vie n’est qu’inexistance. Ton âme est maintenant en errance, Dans ce monde d’ailleurs, Il y a beaucoup de fleurs, Qui n’ont pu grandir Et s’épanouir. Aujourd’hui je me dois de te faire exister, Pour montrer aux gens que tu n’étais pas que rêvé. Tu appartiens désormais à mon coeur, Et tu arrive maintenant à faire mon bonheur. Car ma voie s’est dessinée, Grâce à ton passage limité. Tenir ma promesse, C’est contrer ma tristesse. Créatrice de la page Facebook – Moi, Petit Paul Voyager à travers les nuages Il t’est permis de choisir, Faire le plus beau des voyages, Voir la terre vue d’en haut, Quel merveilleux cadeau, Soufflant de l’amour sur ton passage, Mon coeur tu viens adoucir. Être au plus près des étoiles, Et toucher le soleil, La vie t’es donnée autrement, Que j’ai imaginé ma vie de maman, Ton monde m’émerveille, Ta vie est désormais astrale. Un jour je viendrai te retrouver, Nous voyagerons ensemble Sur le plus beau des nuages, Quand s’arrêtera mon âge, Jusqu’à ce que la vie nous rassemble, Je ne fais qu’infiniment t’aimer. créatrice de la page Facebook Moi, Petit Paul PublicitéIl continuera toujours à sourire quelque part en nous Il parlait, il marchait… il souriait… Et il continuera toujours à sourire quelque part en nous, Dans le cœur de chacun… Il est parti…peut être pas si loin… Peut être y a t-il maintenant une étoile de plus dans le ciel ?… Il a goûté au monde… Innocent ? peut être, oui… Et déjà enjôleur et coquin… J’ai envie de dire c’est pas juste ! » Il s’est juste endormi un peu trop longtemps… Paisible… Il est parti…comme un ange… un ange tout bronzé au milieu de la neige de février… Il a peut être rejoint Peter Pan au pays imaginaire. Il a retrouvé les fées et les indiens au milieu d’une pluie de magie et de bonheurs simples. Il a fermé les yeux tranquilles… Et nous, nous restons là, sur cette terre un peu trop vide tout à coup… Il faut juste apprendre à parler à l’imparfait de sa frimousse. Il avait un an et huit mois…et de grands yeux… Et il laissera sa marque ici-bas… On n’oubliera pas…jamais… Il nous a charmés et il restera avec nous d’une façon ou d’une autre Quoi que la vie ait pu décider. Il n’y a rien a dire après ça »… Sauf un je t’aime »… Poème écrit par la tante d’un enfant décédé Vous préférez un texte d’enterrement écrit par un auteur connu Demain, dès l’aube Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et, quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor Hugo, Les Contemplations, 1856 Chrysanthèmes Ils disent qu’au ciel on retrouve Ces chers petits morts tant pleurés. Ah ! savent-ils bien ce qu’éprouve Le cœur des parents éplorés. Ils sont étonnés qu’on se plaigne. Savent-ils bien notre douleur ? À nous dont le sein meurtri saigne, On parle d’un monde meilleur ! J’y crois à cette autre demeure, À cet immense azur béni ; Oui, j’y crois ! et, pourtant, je pleure J’ai peur de ce vague infini. Lui, là-haut, si loin de sa mère ! Je ne puis croire qu’il n’ait pas Comme une nostalgie amère De ceux qu’il aimait ici-bas. Et, comme en un rêve, il me semble Voir errer dans ce ciel si grand Un bel ange qui lui ressemble, Qui nous tend les bras en pleurant. Il partit alors que les roses S’ouvrent dans l’air étincelant De leurs premières fleurs écloses On couvrit le suaire blanc. Pour longtemps la chambre est fermée Dans sa froide atmosphère en deuil Flotte encore l’âme embaumée Des chrysanthèmes du cercueil. En secret, la mère, hagarde, Toute pâle, tournant la clé De l’huis funèbre, se hasarde À franchir le seuil endeuillé. Dans la pièce où son œil pénètre Elle cherche et voudrait bien voir Les beaux yeux du cher petit être Qui manque aux caresses du soir. Une fièvre intense hallucine Et son oreille et son regard ; Ce nid plein d’ombre la fascine Son trésor est là, quelque part. Ce demi-jour mélancolique Que reflète le ténébreux Cristal du grand miroir oblique. C’est le reflet des jours heureux. L’alcôve était claire et fleurie ; C’est là que l’enfant fut bercé. Ah ! l’alcôve est bien assombrie Depuis que la mort a passé. Où sont les fleurs, les fines gazes, Les merveilles du blanc trousseau ? Les fleurs ne sont plus dans les vases, Et l’enfant n’est plus au berceau. C’est pourquoi la mère affolée, En proie aux regrets superflus, Ne veut pas être consolée, Parce que son amour n’est plus. Nérée Beauchemin Texte enterrement La mort d’un enfant Un enfant expirait dans les bras de sa mère Cet appel de la mort, un ange l’entendit, Et, pour aller cueillir cette fleur éphémère, Du ciel il descendit. L’immortel habitant des sphères éternelles, Après avoir plané dans les airs un moment, Sur le fatal berceau, qu’il couvrit de ses ailes, S’arrêta tristement. Une femme était là, murmurant des prières, A genoux, l’œil hagard et de pleurs obscurci ; De l’envoyé divin les célestes paupières Se mouillèrent aussi. Mais il doit accomplir son douloureux message ; L’inexorable arrêt des destins est porté. Pourquoi pleurer d’ailleurs ? Ce n’est là qu’un passage A l’immortalité. Déjà cette jeune âme au ciel est attendue ; Ils ont l’immensité des airs à parcourir. Voici l’heure, dit l’ange à la mère éperdue, Ton enfant va mourir. Mourir ! Ah ! Qu’ai-je dit ? Il va renaître et vivre ! Vois ce rayon d’en haut qui sur son front a lui Des terrestres douleurs l’Éternel le délivre, Et le rappelle à lui. Avec les Séraphins, dans les saintes phalanges, Du trône du Seigneur il sera le soutien Il manquait un enfant parmi ses jeunes anges ; Il a choisi le tien. Pour lui du paradis ne crains pas le voyage ; Nous allons y voler au souffle du zéphyr, Et je le bercerai dans l’air, sur un nuage, S’il ne peut s’endormir. De la nuit à ses yeux j’écarterai le voile, Et je le conduirai par l’orient vermeil ; Nous nous arrêterons demain sur une étoile Et ce soir au soleil. Puis franchissant d’un vol les espaces du vide, Et laissant sous nos pieds mille mondes divers, Nous entrerons enfin au séjour où réside Le roi des univers. Bientôt nous t’attendrons dans ce divin asile, Et pour l’éternité tu l’y retrouveras » L’ange alors s’inclina sur l’enfant immobile, Et le prit dans ses bras. Le nouveau Chérubin entrouvrit la paupière ; Mais la terre déjà s’enfuyait à ses yeux, Et son guide avec lui sous des flots de lumière Disparut dans les cieux. A ce terrible instant, dans ta douleur profonde, Toi, pauvre mère, toi, le vis-tu s’envoler ? L’éclat qui l’entourait à son départ du monde Te dut-il consoler ? Hélas ! Il te laissait parmi nous solitaire ! Que t’importait pour lui ce destin triomphant, Et qu’il fût dans le ciel un ange ? Sur la terre Il était ton enfant ! Antoine Fontaney, Dans “Ballades, mélodies et poésies diverses”. Du papillon à la plume En venant dans l’émoi, Avec un peu de lui, Ton père a fait de moi Une enceinte de vie. Remparts et contreforts, Pour te mettre à l’abri Nos mains frôlent ma peau, Tendue de ta promesse. Et puis un jour le corps Descend le pont levis On te pose, nu et beau Pour que je te caresse. Ta bouche sur mon sein, Je me fais nourricière, Tes yeux dans mon destin, Il n’y a plus d’hier. Tes sourires et tes larmes, Tes petits bras sincères, Me font baisser les armes, Mon enfant éphémère. Car toi qui m’a fait mère, Même si tu repars Dans le vent, dans les airs, Tu es dans mon regard. Ton passage, mon petit, Comme une étoile filante, A fait naître l’envie D’un avenir qui chante. Alors, je chanterai, En pensant à tes yeux, Et tu seras caché Dans mon sourire radieux. Agnès Ledig Où es-tu, petit ange ? Où es-tu, petit ange, où es-tu ? On aurait bien voulu, À force d’amour, t’empêcher de partir, mais le monde est trop lourd, petit ange léger, Et n’a pas su te retenir. Où faut-il te chercher, maintenant ? Sous les gouttes de rosée ? Sur les ailes du vent ? Qui saura nous le dire ? “Maman, Là où je suis, je ne crains rien. J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes, J’ai l’âme vaste comme le monde. Là où je suis, la joie est sans mélange. Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose… sur les ailes d’un ange, Dans la rosée, dans le vent, Dans le cœur d’une rose, Dans le cœur de mes parents. Ne me cherchez pas, je suis partout, Je suis avec vous, je suis chez moi. ” Albert Gui Sur le même sujet Cérémonie laïque comment personnaliser l’au-revoir ? Perte d’un enfant 5 livres qui peuvent vous aider dans votre deuil Perte d’un enfant 6 ressources pour vous accompagner 2 papas brisent le silence autour de la mort d’un enfant Perdre un enfant m’a mis à terre mais m’a révélé à moi-même Décès d’un enfant 7 comptes Instagram qui brisent le tabou
étoile [etwal] nom féminin. estrella f. l'étoile du berger el lucero del alba. étoile filante estrella fugaz. à la belle étoile al raso. être né sous une bonne étoile haber nacido con buena estrella.
Préparez vos télescopes ! Un événement astronomique spectaculaire est sur le point de se produire. La pluie de météores des Perséides illuminera notre ciel et nos esprits dans la nuit du jeudi 12 août 2021 au vendredi 13 août 2021. Cette pluie de météores est de loin la plus populaire et la plus connue de toutes. Elle se déroule chaque année lorsque la trajectoire de la Terre croise les débris d’une comète, généralement entre le 17 juillet et le 24 août. Cette année, un essaim de météores provenant de l’astéroïde Swift-Tuttle va rentrer dans l’atmosphère terrestre et éclairer le ciel du monde entier d’une magnifique pluie d’étoiles filantes. Nuit des étoiles filantes 2021 Que symbolise-t-elle en astrologie ? Astrologiquement, une pluie de météores est semblable à une pleine lune elle représente la libération émotionnelle. Tout comme la comète se débarrasse de ses excès en filant à travers le système solaire, elle nous rappelle que nous devons nous débarrasser de ce qui ne nous sert plus dans notre vie sur Terre », raconte l’astrologue Shereen Campbell dans le magazine StyleCaster. » Cette pluie de météores nous demande d’affronter nos peurs afin qu’elles puissent devenir nos plus grandes forces. C’est en leur faisant face que nous pourrons apporter des changements dans notre vie et dans le monde. » Perséides 2021 Où et quand observer la pluie d’étoiles filantes ? Si cette pluie de météores se produit déjà depuis le 23 juillet dernier, elle sera à son apogée dans la nuit du jeudi 12 août 2021. Trouvez un endroit confortable, évitez autant que possible les lumières vives y compris votre téléphone et laissez à vos yeux le temps de s’adapter à l’obscurité, jusqu’à une demi-heure si vous le pouvez », conseillent les experts de la NASA. Les Perséides apparaîtront sous forme de petites traînées de lumière rapides elles tirent leur nom du fait qu’elles semblent venir de la constellation de Persée près du Bélier et du Taureau dans le ciel nocturne, mais les Perséides dans cette zone peuvent être difficiles à repérer du point de vue de la Terre. Alors levez les yeux et profitez du spectacle ! » Pour avoir un aperçu de cet événement incroyable en France, rendez-vous dans une zone la plus sombre possible avant le lever de la Lune, jusqu’à 3 heures du matin. Si vous êtes citadin, vous n’aurez probablement pas la chance d’observer pleinement ces étoiles filantes, qui seront au nombre de 100 par heure environ. Perséides 2021 Comment la nuit des étoiles filantes va impacter chaque signe astro ? Le Taureau et le Gémeaux sont les signes qui ressentiront probablement le plus l’énergie de cette pluie de météores. C’est le moment de s’efforcer de libérer toutes les mauvaises habitudes, relations ou circonstances qui bloquent votre pouvoir », conseille l’astrologue Shereen Campbell dans le magazine StyleCaster. Le Lion, le Scorpion et le Verseau pourraient avoir le plus de mal à s’adapter à l’énergie de cette pluie de météores, car le changement peut est parfois plus difficile pour ces signes fixes. Concentrez-vous davantage sur vos objectifs vous serez plus près du une fois qu’ils se seront libérés de leur fardeau. » Le Bélier, le Cancer, le Capricorne et la Balance pourraient mener la charge en initiant des changements qu’ils savent nécessaires pour réaliser leurs désirs les plus profonds. Cela dit, ils doivent faire attention à ne pas apporter de changements trop drastiques sans y avoir bien réfléchi. Le but est de vous écouter et comprendre vos peurs, puis de les vaincre. Ces signes cardinaux doivent être certains de ne pas fuir ces peurs à la place. » Enfin, le changement sera plus facile à intégrer pour la Vierge, le Sagittaire et le Poissons, qui devraient se sentir moins impactés par cette pluie de météores. Pas de stress ! Profitez simplement de la vue qui s’offre à vous. » Quel que soit votre signe du zodiaque, rappelez-vous que l’astrologie n’est qu’une prévision météorologique énergétique, qui vous montre quelles vibrations viennent à votre rencontre. Vous avez toujours votre libre arbitre et le pouvoir de décider comment vous utiliserez cette énergie. N’oubliez pas de faire un vœu ! A LIRE EGALEMENT Horoscope Le vendredi 13 août va porter chance à ces 3 signes astro Horoscope Ce signe astro va remporter le gros lot au mois d’août 2021 Tarot astro Voici ce qui vous attend en août 2021 selon votre signe du zodiaque
1 [astre, emblème] Stern der. un hôtel trois étoiles ein Dreisternehotel. l'étoiledu berger [matin] der Morgenstern. [soir] der Abendstern. étoile filante Sternschnuppe die. étoile de mer Seestern. à la belle étoile (figuré) unter freiem Himmel. être né sous une bonne étoile (figuré) unter einem guten Stern geboren sein.
On t'a pas demandé de nous raconter ta vie Le 24 août 2022 à 220235 Tu as fait un vœu?non pourquoi ? Le 24 août 2022 à 220256 Le 24 août 2022 à 220235 Tu as fait un vœu?non pourquoi ? C’est la tradition quand on voit une étoile filante, on dit que ton vœu se réalisera. Le 24 août 2022 à 220334 Le 24 août 2022 à 220256 Le 24 août 2022 à 220235 Tu as fait un vœu?non pourquoi ? C’est la tradition quand on voit une étoile filante, on dit que ton vœu se viens d'en faire un Le 24 août 2022 à 220602 Le 24 août 2022 à 220334 Le 24 août 2022 à 220256 Le 24 août 2022 à 220235 Tu as fait un vœu?non pourquoi ? C’est la tradition quand on voit une étoile filante, on dit que ton vœu se viens d'en faire un Garde le pour toi sinon ça marche pas Le 24 août 2022 à 220641 Le 24 août 2022 à 220602 Le 24 août 2022 à 220334 Le 24 août 2022 à 220256 Le 24 août 2022 à 220235 Tu as fait un vœu?non pourquoi ? C’est la tradition quand on voit une étoile filante, on dit que ton vœu se viens d'en faire un Garde le pour toi sinon ça marche pasOui c’est vrai mais je me dis que c’est peut-être trop tard maintenant, normalement on est censé le faire tout de suite après l’avoir vue.. Le 24 août 2022 à 220942 Le 24 août 2022 à 220641 Le 24 août 2022 à 220602 Le 24 août 2022 à 220334 Le 24 août 2022 à 220256 Le 24 août 2022 à 220235 Tu as fait un vœu?non pourquoi ? C’est la tradition quand on voit une étoile filante, on dit que ton vœu se viens d'en faire un Garde le pour toi sinon ça marche pasOui c’est vrai mais je me dis que c’est peut-être trop tard maintenant, normalement on est censé le faire tout de suite après l’avoir vue..Ca rajoute du mystère on appelle ça un éjaculat céleste Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
MariusColucci : «Je suis né sous une bonne étoile» Il est le héros de Cent pages blanches , une comédie diffusée sur France 2 Lumbroso : duos sous les étoiles
Titre Une promesse sous les Shonen aïPairing EunHaeRaiting tout public A peine suis-je né que les personnes qui m'ont donné la vie m'ont abandonné. Je n'ai jamais vu leur visage. Je suis donc ce qu'on appelle un orphelin. Depuis ma naissance j'ai grandit dans cet orphelinat, c'est dans cet endroit que je t'ai connu. »-Eunhyuk on ne court pas dans les couloirs !-Désolé madame mais je cherche est dans la salle de alla donc dans la salle de jeu et y trouva Donghae assit sur un tapi avec un nounours dans les !Le petit garçon relava la tête pour écouter son ce que tu fais, on doit aller voir les étoiles, tu as oublié ?-Mais les madame ont dit que le soir on devait pas sortir...-Ne t'inquiètes pas, personne ne nous verra et on ne restera pas se pinça les lèvres et dit de manière presque inaudible -D'accord...Eunhyuk sourit et le prit par la main. Ils commencèrent à partir et Donghae avait toujours son tu prends ton ours ?-Comme ça...-Je parie que tu as peur .-Pas vrai ! Je veux juste qu'il voit aussi les étoiles...Eunhyuk lui sourit et le tira hors de la salle de jeu. Ils regardèrent si la voie était libre et sortir par la porte fenêtre sans que personnes ne les voient. Arrivé dehors, ils s'assirent dans l'herbe et regardèrent le ciel. Il n'y avait aucun nuage, la lune était pleine et les étoiles brillaient de mille feux si bien qu'elles éclairaient l' beau. Dit Eunhyuk pour ensuite s'allonger dans l' c'est serrait fort contre lui son ours en peluche et tremblait. Le voyant à moitié recroquevillé sur lui-même, Eunhyuk se Ça ne va pas Dongdong ?-J'ai... j'ai des frissons...-Tu as oublié ton écharpe c'est normal. Mais ne t'inquiètes pas la mienne est assez enroula un bout de son écharpe autour du cou de Donghae et l'autre autour de son cou. Ils se collèrent pour ne pas avoir froid. -On est bien comme ça, on a pas oui tu as raison HyukieIls se mirent à sourirent puis à rire. Donghae se pinça la lèvre et dit -Tu sais Hyukie dans les dessins animés et les livres les gens souvent disent je t'aime », tu crois que quelqu'un me le dira un jour ?-Oui, car moi je t'aime !-C'est vrai ?-Oui et toi ?-Vui ze t'aime !-Alors on s'aime, c'est cool ! Et quand on sera de grands monsieur on aura notre maison à tout les deux. Promis ?-Promis ! Donghae se mit à sourire et a taper dans ses mains. -Oh regarde une étoile filante !Eunhyuk se leva et pointa du doigt le as vu Donghae ?-Oui ! C'est cro se retourna vers Donghae, il lui prit les mains et le força à se faire un v½u, si on fait le même c'est sur qui se réalisera ! Je souhaite être toujours avec toi » voilà le v½u et la promesse que nous avons fait ce soir là sous la pleine lune du mois d'octobre. On c'est dit je t'aime » mais à cet âge un je t'aime n'est qu'un simple mot, nous étions des enfants, le sens pure de se mot nous était inconnu. Dongdong, voici comment il me surnommait. J'étais peureux et lui courageux. Quand j'étais triste, il me faisait rire. J'étais fragile et lui combatif. Il était mon meilleur ami, quoiqu'il faisait je le suivait. Je me souviens de deux petits garçons qui m'avait fait pleurer car il m'avait piqué mon ours, Eunhyuk c'était bagarré avec eux pour me le redonner et au final il c'était fait punir. Il me protégeait, me tenait toujours par la main. J'ai surement passé les plus beaux moments de ma vie, mais nous étions des orphelins et ce bonheur m'a été enlevé. Un matin ma nouvelle famille est venue me chercher alors que tous les autres enfants dormaient. »-Aller Donghae dis bonjour à ton papa et ta maman. -Non... ze veux pas-Donghae !-Allons laisser le, c'est normal il est suis ta maman, je peux te faire un bisou ?-Veux voir Eunhyuk...-Je n'ai pas entendu, peux tu répéter ? demanda doucement sa nouvel se mit à pleurer et hurla -Non ! Veux voir Eunhyuk !!!- Ça suffit Donghae ! Les autres dorment, cesse de secoua sa tête de gauche à droite et se mit à pleurer de plus en plus fort. Eunhyuk était caché derrière la rampe d'escalier et avait tout entendu, quand Donghae se mit à crier il sortit de sa cachette et alla le prendre dans ses le tranquille, il veut pas de vous !-Eunhyuk retourne dans ta pas sans Donghae !La directrice de l'orphelinat appela deux autres femmes qui arrachèrent Eunhyuk de Donghae. Donghae commença à partir mais son nouveau papa le prit dans ses bras pour l'empêcher de le suivre. Eunhyuk se !!!-Ouiiin Hyukie !!! Me laisse pas !Eunhyuk disparut dans le couloir de l'orphelinat et Donghae partit. La chose que j'aimais le plus, j'en ai été séparé ce jour là. J'ai longtemps pleuré, je n'arrivais pas à m'habituer à ma nouvelle vie. Pourtant mes parents étaient très gentils, j'étais souvent dans leur bras, ils me donnaient beaucoup d'amour. Je ne leur en ai jamais voulu. Avec le temps j'ai réappris à sourire mais je ne t'ai pas oublié. Eunhyuk, Hyukie, mon meilleur ami, mon frère, mon amoureux de toujours, la personne qui a mon c½ur et dont je ne reverrais jamais. J'espère que tu as trouvé des parents gentils et aimants, tout comme les miens. Heechul, un ami de ma faculté, m'a organisé, ou m'a plutôt forcé, un rendez-vous arrangé ça te fera du bien de rencontrer une nouvelle tête » m'a-t-il dit. Mais il n'y a que ton visage que je veux voir. Je marche dans les rue de Séoul vers ce café, sous le ciel pluvieux du mois d'octobre. -Ah enfin ! -Désolé Heechul, le métro à eu une bon, ton rencard est déjà là ! Viens. Je le suis à l'intérieur du café, on avance vers une table en fond. Je ne vois pas son visage, il a la tête à moitié caché dans son écharpe, qui me dit quelque chose. -Alors, Donghae je te présente Eunhyuk, il bosse avec moi dans la librairie. Non, c'est impossible, ça ne peut pas être toi. »Donghae et Eunhyuk se regardèrent sans dire un mot. Heechul se sentait de vais vous laisser hein !Heechul partit les laissant seul. Ils continuèrent à se regarder, n'en croyant toujours pas leurs yeux. Eunhyuk décida finalement de se lever, toujours en fixant vraiment toi ? Dongdong ? Comme ce surnom m'avait manqué. C'est bien toi, tu as grandit, tu es devenu un jeune homme. Tu es tellement beau, ton visage m'a tellement manqué. Je ne peux empêcher mes larmes de dieu... oh mon dieu, Hyukie... tu m'as t'avance vers moi avec un sourire, le même que quand nous étions es toujours aussi me prends dans tes bras, et je me serre contre toi. J'ai l'impression de revivre, j'ai l'impression que l'air que je respire est meilleur, que mon c½ur bat comme il n'a jamais battu. Finalement nous sortons du café. Nous marchons main dans la main. J'ai froid, le vent d'octobre se rafraichit de jours en n'as vraiment pas changé, toujours aussi tête en l'air, tu as encore oublié ton cette nuit, tu as partagé ton écharpe avec moi. Tu l'as enroulé autour de mon cou pour ensuite poser tes mains sur mes avons été séparé pendant des années mais je n'ai jamais cessé de penser à toi. Ce v½u, cette promesse, que nous avons faite, à présent nous allons le réaliser. Je t'aime aussi je t'aime Eunhyuk. Tu rapproche ton visage du mien et m'embrasse tendrement. Se faire embrasser par la personne qui fait battre notre c½ur depuis tant d'année est tellement agréable. Plus jamais nous ne nous quitterons mon à toi petite étoile d'avoir guidé nos pas... »
Depuisson radiateur au fond de la classe, ce jeune rêveur observe les oiseaux dans la cour, ou scrute les aiguilles de la pendule qui prennent un malin plaisir à ralentir. Le garçon aimerait rapporter des bonnes notes à sa mère, malheureusement ce sont surtout les convocations du directeur qu’il collectionne. Pourtant, Gustave est
Zazapat Fondateur administrateur Messages 8799 Inscription 16 déc. 2010 1738 Localisation Tarn et Garonne Contact L'étoile filante... Pour la petite histoire et encore une fois, impossible de trouver un PB, un fichier midi et encore moins une partition avec les accords. Donc hier matin avant de partir pour mon thé dansant j'ai commencé à m'y atteler et c'est après midi, après ma sortie vélo du matin j'ai terminé une bande orchestre et j'ai enregistré dans la foulé. Tonalité Réb et Sib. 1ère voix Zazapat Hohner super64x 2ème voix Patrice Hohner Super64x 3ème voix Zaza Avec sa voix Percutions Pat Shaker et poubelle de bureau Tamtam Merci de me donner votre avis sincère même s'il est sévère sachant que c'est la première fois que je fais tout avec les moyens du bord... Version 2 revue et corrigée Blue Harp Re L'étoile filante... Message par Blue Harp » 18 oct. 2015 1725 C'est simple si un jour j'ai besoin d'un fond de percussions, je saurai à qui demander. Ca rend vraiment très bien ! André CHARLES Harmo noir Messages 3884 Inscription 03 févr. 2014 2141 Re L'étoile filante... Message par André CHARLES » 18 oct. 2015 1828 Selon moi simple question de goût, les percussions dominent un peu trop l'ensemble de la mélodie au détriment des 1ère, 2ème et 3ème voix que je trouve particulièrement intéressantes. Bravo, en tout cas, pour cette expérience originale qui montre qu'avec de l''imagination et de la créativité, on peut toujours se débrouiller... Cela me fait penser à ton idée de me faire utiliser un fond de chants de cigales comme bande-son ! Franchement, du très beau travail ! Amitiés, André geo21320 Harmo noir Messages 11370 Inscription 20 déc. 2010 1613 Localisation COTE D'OR DIJON Re L'étoile filante... Message par geo21320 » 18 oct. 2015 1831 GENIAL !!... C'est très réussi !! BRAVO !!.. Même sans bande son , le rendu est excellent .. Tu féliciteras tes acolytes pour leur participation .... Bonne soirée ...Amitié ...GEO .... Les diamants sont précieux , l'amitié est sans prix !!.. GEO dany89 Harmo noir Messages 6430 Inscription 15 juin 2019 1807 Localisation AVALLON 89 Re L'étoile filante... Message par dany89 » 18 oct. 2015 2011 WAOUUUHHH.... je trouve ça SUPER-GENIAL !!!... On se croirait presque au fond de la brousse, car je suis d'accord avec André, les percussions dominent un peu trop l'ensemble... mais tout de même, il fallait déjà l'inventer, et ensuite le réaliser, ce tour de force...car c'en est bien un, de faire tout cela toi-même !!!!!... CHAPEAU BAS, l'ARTISTE !!!... Dany Bonne écoute et à bientôt, Dany. Frandur Harmo noir Messages 3081 Inscription 13 sept. 2011 2330 Localisation Fontainebleau Re L'étoile filante... Message par Frandur » 18 oct. 2015 2109 Bonsoir et bravo Patrice, J'ai écouté attentivement et je trouve que ton coeur bat un peu vite 92 pulsations/minute. Comme c'était avant d'avoir pu voir l'affiche de Champcueil, rassure-moi, je ne voudrais pas être à l'origine d'un emballement soudain. Mais l'idée d'enregistrement amplifié du rythme cardiaque à la place de la batterie est bonne. faut juste faire attention au tempo Zazapat Fondateur administrateur Messages 8799 Inscription 16 déc. 2010 1738 Localisation Tarn et Garonne Contact Re L'étoile filante... Message par Zazapat » 19 oct. 2015 1521 J'ai essayé de tenir compte de vos remarques, j'ai refais la 3ème voix avec ma voix et ré-équilibré le tout. Qu'en pensez-vous ? dany89 Harmo noir Messages 6430 Inscription 15 juin 2019 1807 Localisation AVALLON 89 Re L'étoile filante... Message par dany89 » 19 oct. 2015 1924 Tout cela me paraît parfaitement maîtrisé... et donc PARFAIT !!!... Encore une fois, bravo l'artiste !!! Amitiés, Dany Bonne écoute et à bientôt, Dany. André CHARLES Harmo noir Messages 3884 Inscription 03 févr. 2014 2141 Re L'étoile filante... Message par André CHARLES » 19 oct. 2015 2208 Toujours selon moi, tu viens de réussir un "sacré" tour de force ! L'ensemble est harmonieux, équilibré... En t'écoutant, j'ai retrouvé l'ambiance "western" d'un film que j'ai vu il y a bien longtemps déjà, et dont j'ai oublié le titre, mais pas la très belle musique dont le refrain commençait ainsi " Je suis né...é...sous une étoile filante..." D'accord avec Dany "Bravo, l'artiste !" danharmo47 Harmo vert Messages 234 Inscription 23 oct. 2012 1515 Localisation 88160 LE THILLOT Re L'étoile filante... Message par danharmo47 » 19 oct. 2015 2231 Bonjour André, Je pense que tu parles de La kermesse de l'Ouest. Quand le faucon vole, il peut observer les vrais qui sont en bas danharmo47 Harmo vert Messages 234 Inscription 23 oct. 2012 1515 Localisation 88160 LE THILLOT Re L'étoile filante... Message par danharmo47 » 19 oct. 2015 2232 Interprétée aussi par Gilles Marchal Quand le faucon vole, il peut observer les vrais qui sont en bas Zazapat Fondateur administrateur Messages 8799 Inscription 16 déc. 2010 1738 Localisation Tarn et Garonne Contact Re L'étoile filante... Message par Zazapat » 20 oct. 2015 0429 Effectivement, le film est bien "La kermesse de l'ouest" ou "Paint Your Wagon" de 1969. Dans les rôles principaux, Lee Marvin et Clint Eastwood. Chantée dans le film en VO par Lee Marvin sous le titre de "Wandering Star" et dans la version française par Gilles Marchal sous le titre "L'étoile filante". Zazapat Fondateur administrateur Messages 8799 Inscription 16 déc. 2010 1738 Localisation Tarn et Garonne Contact Re L'étoile filante... Message par Zazapat » 21 oct. 2015 0430 Après une autre écoute à tête reposé, il y a encore une grossière erreur dans mon interprétation. Il me semblait bien que quelque part ça sonnait faux. Je suis étonné que personne ne s'en soit rendu compte. Comme quoi si j'avais eu une partition... Je rectifie dès que possible. dany89 Harmo noir Messages 6430 Inscription 15 juin 2019 1807 Localisation AVALLON 89 Re L'étoile filante... Message par dany89 » 21 oct. 2015 1021 Je n'ai pas pu relever d'erreur, étant donné que je ne connais pas du tout cette mélodie jamais vu le film... enfin, si tu le dis !!!... on attend la 3ème mouture, pour voir la différence... Dany Bonne écoute et à bientôt, Dany. Zazapat Fondateur administrateur Messages 8799 Inscription 16 déc. 2010 1738 Localisation Tarn et Garonne Contact Re L'étoile filante... Message par Zazapat » 21 oct. 2015 1557 Il n'y a pas besoin de connaitre la chanson pour voir qu'il y a une erreur de tonalité Dany. Ecoute le raccord entre le couplet et le refrain et tu comprendras. L'erreur c'est que je suis parti sur des tonalités de Réb et Sib alors que se serait plutôt du Réb Lab. L'oreille n'est pas infaillible hélas et je le prouve. La version définitive avec l'extrait du film pour réveiller encore plus les souvenirs dany89 Harmo noir Messages 6430 Inscription 15 juin 2019 1807 Localisation AVALLON 89 Re L'étoile filante... Message par dany89 » 21 oct. 2015 1915 En effet, ça sonne mieux comme ça !!!... mais je ne suis pas assez calée pour déceler les erreurs de tonalité sauf pour le Parrain, où je m'étais aperçue moi-même que j'avais aussi fait une erreur... je remarque plus facilement les fausses notes... les "canards", quoi !!!... Avec toi, malheureusement, tous les chasseurs sont bredouiles... hi-hi... Bonne soirée, Dany Bonne écoute et à bientôt, Dany. geo21320 Harmo noir Messages 11370 Inscription 20 déc. 2010 1613 Localisation COTE D'OR DIJON Re L'étoile filante... Message par geo21320 » 22 oct. 2015 1301 WHAAOOUU !! Très bonne rectification .... Bravo PATRICE ...Des souvenirs qui remontent à la surface avec la vidéo ... Amitié ...GEO ... Les diamants sont précieux , l'amitié est sans prix !!.. GEO jeep Harmo noir Messages 1919 Inscription 03 sept. 2014 0841 Re L'étoile filante... Message par jeep » 26 oct. 2015 1908 L'harmoniciste ,la voix et le percussionniste ,l'harmonie est parfaite,tu n'as besoin de personne pour créer ton orchestre . Bravo ,Patrice . Jeep
Nésous une bonne étoile. Conte/Marionnettes - Tout public à partir de 8 ans. Dimanche 27 avril 2014 à 15h. Tarif : 7€/5€ Informations et réservations au 01 46 36 95 15; Site : Ogresse théâtre; L’Ogresse théâtre - 4 Rue des Prairies - 75020 Paris – Métro : Porte de Bagnolet
Marchal GillesJe suis né sous une étoile filanteEt je vis comme une étoile filante,Je n'ai pas de femme, même pas un lit,Je cours comme un cheval qui fuit devant un incendieJe suis né sous une étoile filanteJ'ai joué à qui-perd-gagne et j'ai jamais gagné,Mais j'ai aimé ce jeu-là, je n'ai pas de regrets,Car un loup qui meurt de faim ira toujours plus loinQu'un cabot qui dort devant son vieil osJe suis né sous une étoile filanteEt je vis comme une étoile filanteAu hasard des routes, ma vie rouleraJusqu'à ce sacré jour où mon étoile tomberaJe mourrai comme une étoile filante,Comme une étoile filanteCompagnons des longs chemins,Amis des nuits de gnôle,Si vous trouvez votre copain crevé avec ses bottes,Enterrez-le bien profond et piétinez le sol,Pour que de sa tombe il ne file encoreJe suis né sous une étoile filante,Sous une étoile estações relacionadas a Marchal Gilles no
PhilippeTosi, né sous la bonne étoile. La tête dans les étoiles, ce n'est pas qu'une expression. Philippe Tosi l'a depuis son enfance. En lui parlant, son auditeur a presque envie de croire
L’histoire du jeune Franz commence à Cassel le 25 décembre 1886. Né dans une famille bourgeoise émancipée, Franz est fils unique et il va développer de fortes relations avec ses cousins, Hans et Rudolf Ehrenberg. Bien qu’issu d’une famille assimilée à la société ambiante Franz va rester assez marginal pour pouvoir porter un regard distancié sur le monde qui l’entoure. Ce monde, en premier lieu c’est la famille, démasquée dès l’enfance comme lieu de contradictions sociales et intellectuelles insupportables ; il y dénonce l’incohérence d’un milieu familial aspirant à la fusion dans la société dominante tout en préservant des vestiges épars d’une tradition devenue incompréhensible. Son grand oncle Adam, pratiquant et attaché aux traditions, compte beaucoup pour brillant alors qu’il se destine à réussir la médecine, il se lance avec passion dans des études de philosophie et d’histoire. Il subit l’influence de l’historien Frédéric Meinecke. Dans le même temps, il passe beaucoup de temps avec son cercle d’amis, ses cousins, surtout dont il est le plus proche. Ils sont tous à la recherche d’une philosophie existentielle, qui place en son centre l’individu vivant, ici et maintenant. Et si la religion pouvait fournir la clé ? Et si elle en savait plus ? En 1909, son cousin et plus proche ami, Hans Ehrenberg se convertit au protestantisme au grand désappointement de la famille Rosenzweig mais Franz approuve la démarche de recherche tendant vers un absolu. Un an plus tard il se rend à un congrès philosophique à Baden Baden où il fait connaissance d’un certain Eugen Rosenstock avec va se nouer une profonde amitié. Dès l’âge de 17 ans, Eugen Rosenstock s’est converti au christianisme, il est devenu un chrétien militant. A cette époque il y a un fort mouvement de conversion au christianisme chez certains intellectuels juifs. Pour eux le judaïsme n’est plus qu’une relique incapable de répondre aux besoins de l’époque ce serait une bourse vide », les trésors de la culture seraient européens et l’Europe serait chrétienne. Un siècle plus tôt, au Siècle des Lumières, Henri Heine n’avait-il pas affirmé à propos de la conversion qu’ il s’agit d’un billet d’entrée dans la civilisation européenne ». Pourtant c’est avec difficulté que les Juifs ont obtenu leur émancipation doit-on rappeler que vers 1840-1850 plusieurs dizaines milliers de juifs allemands ont pris les chemins de l’exil en émigrant vers la terre promise américaine. Les années 1880 voient la flambée d’un antisémitisme nouveau qui tente de s’opposer à ce mouvement d’émancipation. Les divisions profondes qui traversent le Judaïsme allemand l’affaiblissent et ne lui permettent pas d’affronter aisément ces nouvelles conditions. Pourtant les juifs doivent apporter des réponses à ces questions lancinantes qui se posent à toutes les générations comment concilier la modernité et la tradition ? Qu’est-ce que la spécificité juive ? En juillet 1913, à Leipzig, Franz et Eugen se retrouvent et au terme d’une discussion passionnée où l’on parle de la raison et de la foi, de l’histoire et de la révélation de Hegel et de Nietzche, de judaïsme et de christianisme, de la vérité et de la prière. Rosenstock convertit intérieurement Franz Rosenzweig. Il le convainc qu’on ne peut continuer à vivre dans le relativisme et le scepticisme, qu’il faut se référer à un absolu, que le religion chrétienne est la seule apte à fournir des repères à la vie intérieure, que le temps a un sens, une origine et une fin qu’elle offre au monde une cohérence. Franz Rosenzweig est secoué. En 1913 il rentre à Cassel pour fêter le nouvel an juif, les Evangiles à la main il proclame devant sa mère Tout y est, la vérité est là, il n’y a qu’un chemin ! » Il désire se convertir à son tour, comme ses cousins Hans et Rudolf Erhenberg et son ami Eugen Rosenstock. La seconde vie de Franz Rosenzweig est marquée par le tournant de Kippour 1913, les débuts et le déroulement de la Grande Guerre. C’est apparemment une décision formelle ; immédiatement après Kippour, il se convertira au christianisme. Comme aux origines du christianisme il ne veut pas rentrer dans l’Eglise comme un païen mais en tant que juif, comme Jésus et les Apôtres ! Existe-t-il au sein du judaïsme une journée plus cruciale que celle de la rémission des péchés. Et c’est pour cela qu’il a pris à la veille de son baptême, le chemin de la synagogue, chemin qu’il n’avait plus emprunté depuis le jour de sa Bar-Mitsva. Au début de Kol Nidré, ouvrant le Yom Kippour de 1913, c’est un jeune homme âgé de 27 ans qui pénètre dans une des synagogues orthodoxes où il ne connaît personne, sans orgue, ni chœur, une shule, de Berlin. Ici, nulle fioriture, pas de chœur mixte, en fait une grande quantité d’hommes qui invoquent le maître d’univers auquel ils adressent des supplications dans les complaintes qui s’élèvent vers le ciel il ressent aussitôt toutes les souffrances du peuple juif. Lorsque vingt cinq heures plus tard, l’Office de Yom Kippour s’achève par la prière de Nehila, c’est un Franz Rosenzweig bouleversé et transformé jusqu’aux tréfonds de l’être, qui sort de la Synagogue. La même nuit il écrit à son cousin Rudolf Erhenberg Cela ne semble plus nécessaire et c’est pourquoi, étant ce que je suis, cela n’est plus possible. Je resterai Juif. Peut-être le Christianisme, la Demeure du Fils, doit-il permettre à chaque homme d’entrer dans la Demeure du Père, et son caractère missionnaire est-il universellement justifié sauf pour Juif, car le Juif n’a nul besoin du Fils pour trouver le Père ; de par sa naissance même, son histoire, son existence, il est à demeure dans la Demeure du Père. » A partir du lendemain de Kippour 1913 non seulement il reste Juif, mais par un effort incessant et volontaire d’étude, de réflexion, de pratique et de vie, il redevient » juif dans toute la plénitude du terme. Pour lui le judaïsme n’est plus une question de recherches historiques ni un sujet académique, mais bien une question sa presque conversion au christianisme et son retour au judaïsme, il décide de rester quelque temps à Berlin pour y approfondir les sources juives. Il va suivre les cours du philosophe Hermann Cohen. Cohen est dans ses vieux jours. Il vient de quitter l’Université de Marbourg, en pleine gloire. Fils de hazan, ministre-officiant, élevé dans la tradition- destiné initialement à être rabbin, il a fait un passage par l’institut rabbinique de Breslau, il a suivi sa formation de philosophie à Berlin avant de devenir l’illustre représentant de l’école de Marbourg. Entre les deux hommes naît une affection profonde. Rosenzweig voit en Cohen un inspirateur, un maître, une référence qui lui rappelle peut-être son grand-oncle Adam. Cohen pressent chez ce jeune homme un esprit libre, un disciple doué et peut-être le fils qu’il n’a jamais pu avoir. Ils divergent sur bien des sujets, leurs tempéraments sont aux antipodes, mais cette rencontre a beaucoup compté pour Rosenzweig. Comme celle de Martin Buber dont il fait la connaissance à la même époque et qu’il retrouve plus tard à Francfort. Ce qu’il appelle la teshouva de Hermann Cohen renforce en tout cas son propre retour au judaïsme, même si ce retour doit se frayer sa voie par ses propres forces. En septembre 1914 éclate la première guerre mondiale c’est un moment où la civilisation européenne est entrée dans une crise sans précédent. En effet la mort au combat provoque la rupture définitive avec le modèle condamné d’une Europe dévastée par l’affrontement des nationalismes. La guerre entre les nations européennes est une confirmation de la nocivité »hégélienne. Il faut sortir du XIXème siècle, de cette sorte de religion de l’Histoire et de l’Etat et entrer dans une religion avec un investissement d’existence. Il entre comme volontaire à la Croix Rouge à Berlin et il est envoyé comme infirmier, avant d’être enrôlé dans l’armée en avril 1915. Il est envoyé sur le front des Balkans où il reste jusqu’à la fin de la guerre. Il est rattaché à une unité de défense œuvre majeure, L’Etoile de la Rédemption, a été écrite par le sous-officier Franz Rosenzweig sur le front de Macédoine, dans des lits d’hôpitaux, pendant des marches dans la forêt, sur des cartes militaires. En 1917, pendant qu’il est encore mobilisé dans les Balkans, il médite sur la nécessité d’un renouveau de l’éducation juive et écrit un texte qu’il commence à envoyer à Hermann Cohen. Il a choisi un titre tiré d’un verset des Psaumes Il est grand temps » Psaume 119, verset 126. Après la guerre il renonce à une carrière universitaire philosophique pour se consacrer à la direction d’une académie d’études juives pour adultes, à Francfort où enseignent les meilleurs savants juifs allemands. Il fonde un foyer juif avec une jeune Berlinoise Edith Hahn qui, elle aussi, a fait un retour au judaïsme. Le couple s’installe à Francfort où il se lie au rabbin Nobel avec il peut s’investir dans l’étude de la Bible, du Talmud, du Zohar, de la langue hébraïque et du peuple juif. Aussi soudainement qu’a commencé le premier acte, en 1913, éclate en 1922, le deuxième acte. Cette fois, c’est un duel avec la Mort physique. Franz Rosenzweig est atteint d’une paralysie qui le privera progressivement et rapidement de l’usage de ses muscles, de ses jambes, de ses bras, de tout son corps, jusqu’à l’usage de la parole. Seul le cerveau reste lucide. Et l’âme. Le médecin a prévu un an d’agonie. Elle durera sept ans, constituera un miracle des courages conjoints de Rosenzweig lui-même, de sa femme avec laquelle il communiquera par le clignotement de ses yeux et de son entourage, la période la plus féconde, la plus créatrice, la plus rayonnante de son existence, trempée dans la souffrance. Il rédige ses études les plus approfondies sur les problèmes fondamentaux de la pensée juive assimilation et identité, laïcité et sacré, diaspora et sionisme, antisémitisme et affirmation de la pérennité juive. La mort l’enlève en quelques heures, le 10 décembre 1929. L’année 1929 laisse profiler le spectre du nazisme. Le 9 janvier 1930, Guershom Scholem commémorait la mort de Franz Rosenzweig en ces termes Du fond du silence où il a dû s’enfoncer, la voix de Dieu vivant s’est fait entendre jusqu’à nous. Celui qui un jour fut assis dans cette chambre de Francfort et a écouté les réponses qu’il donnait à ses questions, celui qui a entendu les paroles d’une netteté absolue qui émanaient de ce saint muet, celui-là sait, celui-là est témoin, que le miracle a été présent parmi nous en notre temps. » Les héritiers du penseur allemand ne manquent pas tels André Neher, Guershom Sholem et Lévinas dont on vient de commémorer le centenaire de la naissance. Jérusalem abrite un Centre Franz Rosenzweig. JG [php function=1]